M.V.M.
 


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  • Le pianiste
  • Le Poulpe avec Pepe Carvalho
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    Page numéro 5


    Aux dix messages suivants
    Nom: jaquito
    E-Mail: jacques_PUNTO_ponzio_A_free_PUNTO_fr
    Ville:
    Date: 28 Décembre 2003
      
    Message: http://www.christianbourgois-editeur.fr/ficheauteur.asp?num=97

    Nom: jaquito
    E-Mail: jacques_PUNTO_ponzio_A_free_PUNTO_fr
    Ville: Marseille
    Date: 28 Décembre 2003
      
    Message: bibliographie pour joana :



    amitiés
    j

    Nom: joana neus
    E-Mail: mallibu_616
    Ville: badalona
    Date: 9 Novembre 2003
      
    Message: je voule trobare la bibliographie et Manuel Vázquez Montalbán!


    Nom: grande karen
    E-Mail: SGRANDE_A_wanadoo_PUNTO_fr
    Ville: lille
    Date: 25 Octobre 2003
      
    Message: je venais de commencer avec une certaine excitation mes recherches pour mon mémoire de maîtrise sur, en bref, "los mares del sur";et voilà que j'apprends avec beaucoup de tristesse et de déception que le grand Montalban s'en est allé mourir aux antipodes. L'ironie de la vie aussi efficace que celle de ses écrits!
    je me remets donc au travail avec l'envie d'honorer sa mémoire

    Nom: Anik Le Barillec
    E-Mail: anik_PUNTO_lebarillec_A_wanadoo_PUNTO_fr
    Ville: Fort de france (Martinique)
    Date: 20 Octobre 2003
      
    Message: Beaucoup de peine, ce 18 octobre 2003.
    J'ai autant appris sur l'Espagne avec Manuel Vasquez Montalban et Pépé, qu'avec les récits de mes grands parents Andalous.
    Il va manquer à ses lecteurs...

    Nom: gonzalez dolores
    E-Mail: dolores_PUNTO_gonzalez_A_tiscali_PUNTO_fr
    Ville: Paris
    Date: 20 Octobre 2003
      
    Message: Je me sent un peu orpheline aujourd'hui et je regrette que Vazquez ont


    Nom: Audrey
    E-Mail: jorda_PUNTO_audrey_A_libertysurf_PUNTO_fr
    Ville: Auckland, New Zealand
    Date: 20 Octobre 2003
      
    Message: Je suis triste aujourd'hui, j'ai rencontre Manuel Vasquez Montalban le 3 octobre alors qu'il venait donner une conference a l'universite d'auckland, etant un de mes auteurs favoris, j'etais vraiment excitee de pouvoir enfin lui parler... aujourd'hui je suis triste en pensant a pepe y biscuter, orphelins de leur createur, et surtout je pense que le monde litteraire (et le monde en general) a perdu un homme engage et juste. Il ne lira jamais ce message, mais merci pour les photos que je garde precieusement et pour tous ces livres et ces recettes , merci pour cette bonne humeur et cet humour si particulier.
    la vie continue, et le combat aussi

    Nom: Jean Paul Damaggio
    E-Mail: jean-paul_PUNTO_damaggio_A_wanadoo_PUNTO_fr
    Ville:
    Date: 19 Octobre 2003
      
    Message: manolo, nous allons nous battre avec ta mémoire et tes désirs, nous allons être avec toi.

    Manolo, les actualités viennnent de m’apprendre ton décès. Juste avant mon départ pour une réunion. Un ami merveilleux m’a aussitôt téléphoné pour partager nos douleurs. Ton cœur a lâché sans le moindre scrupule. L’aurais-tu trop malmené ? Ton dernier billet dans El País parle encore et toujours du temps de Triunfo, cette revue avec laquelle tu es né à l’écriture. Et pour le coup, le mot est en catalan : triomf ! Ta vie fut-elle un triomphe ? Ils seront des milliers à proposer leurs comptes sur les combats que tu livras. Moi, je suis surtout devenu orphelin de ton actualité, cette même actualité qui fut ton oxygène. J’attendais l’ultime voyage de Carvalho à travers le monde, j’attendais Milenio et tu es mort comme a vécu ton héros : sans reporter à demain le combat du jour.



    Manolo, les actualités viennent d’apprendre ton décès à Pepe qui ne pourra plus prendre sur toi la revanche qu’il s’offrit juste avant que le millénaire nous sépare. Tu te souviens de ta première phrase de ce livre ? « Une scène, aux limites imprécises, sur laquelle émerge une cuisinière, objet massif se distinguant du reste ». N’est-ce pas cette cuisinière qui te joua un mauvais tour ? Avant de commencer ces quelques lignes, j’ai préparé une tarte aux cerises (j’ai pris les fruits dans mon congélateur) pour m’ouvrir l’esprit. A présent, elle est cuite, son odeur embaume la pièce où j’ai installé mon ordinateur portable et derrière moi je sens la douce chaleur d’un feu de cheminée. Parce que tu as toujours été avec le peuple, ton premier art de référence fut celui de la cuisine, un art absent de la liste majeure des sept arts de référence.



    Manolo, les actualités viennent de nous apprendre que ta silhouette ne fera plus tache dans tous les salons bien pensants. Fidel Castro lui-même se dira qu’il aura tenu mieux que toi, face à la vieillesse. L’immense plaisir de découvrir une fois, en direct, ta douce corpulence, ne me sera pas offert une nouvelle fois aussi, je garderai à jamais dans ma mémoire, ce moment merveilleux de ma vie : je te vis tranquillement quitter le petit village de La Grasse dans l’Aude, solitaire, débonaire et naturel. Oui, je t’ai croisé une seule fois en vrai et nous avons, par deux fois, échangé quelques mots par écrit. En conséquence, je m’adresse surtout à l’écrivain plus qu’à l’homme.



    Manolo, les actualités ne nous apprendront jamais que tu as eu le Prix Nobel de Littérature. Des amis avaient pensé à toi pour celui de cette année afin de faire contre-poids à la candidature de Mario Vargas Llosa. Si un jour j’ai le temps, j’écrirai l’histoire croisée de vos vies. Tu n’as jamais eu, face à tes yeux, le même Gauguin que celui que vient de nous dépeindre l’écrivain péruvien. Comment ne pas croiser ces deux romans sur Trujillo : Galindez et La Fête du bouc ?



    Manolo, l’actualité ce sont tes derniers mots, d’aujourd’hui même, publiés comme tous les samedis, dans AVUI. Qui pouvait penser qu’au même moment tu étais à des milliers de kilomètres de Barcelone ? Qui pouvait le penser après t’avoir lu, la veille, dans Interviu ? Que ton dernier écrit soit en langue catalane, c’est comme un symbole, comme le triomf d’El País. Et pour parler de ce politique peu ortodoxe qui s’appelle Maragall. Maragall l’homme des Jeux Olympiques de Barcelone qui t’inspirèrent ton si cher Sabotage olympique. Comme pour boucler les langues de ta vie tu y fais référence à un des billets d’El País ! « Maragall le prince et l’architecte » tu disais alors, pour aujourd’hui titrer seulement, sur le prince. Maragall, le moyen d’écrire avec finesse sur un sujet majeur de ta vie, le combat politique. Sera-t-il très prochainement le remplaçant de Pujol à la tête de la Généralité de Catalogne ? S’il gagne les prochaines élections, même si tu ne fus jamais de son parti, tu y verras un peu comme une juste revanche de l’histoire. Et tu termines, Manolo, par ces mots d’une vie magnifique : Avec tout mon respect. Oui, tout commence par le respect !



    Pour aujourd’hui j’en reste à l’actualité, celle de ta vie, celle qui te fis titrer ton dernier mot pour El País : Triomf. Depuis le 2 septembre 2002, je tente de mesurer le sens de ton effort « journalistique », jour après jour, à travers plusieurs journaux, à travers plusieurs rencontres, à travers tous nos rêves. Dans quelques heures, je pars pour la Sicile où tu avais tes bases, où Sciascia fut ton complice, où actuellement la littérature nous propose les efforts de Montálbano. Auparavant, je vais achever la mise en forme de ce manuscrit dont je n’avais pas imaginé que ta disparition brutale en cloturerait les lignes. Je souhaitais t’ausculter pendant deux ans. A présent, je chercherai seulement à te retrouver. Et la lutte continue : un autre ami de longue date vient de me téléphoner, sans lien avec ton décès car il reste loin de la littérature, mais pour me dire que le plus grand notable de notre département lui parla en mal du combat que je mène. La vie continue et je reprends donc le point de départ de mon manuscrit.

    Nom: tatu mugunda
    E-Mail:
    Ville: oran
    Date: 17 Juin 2003
      
    Message: monsieur monbaltan,il est difficile de croire qun chien d americain puisse osée vous écrire.quelle est la difference entre franco et les americain.étant un revolutionnaire.je me suis outré en voyant la lettre commencent /je vous ecrit des usa/.ses bien eux,il elisent des meurtrier et senvont chialer apres.est ce pas pathétique. a vraie dire le con qui vous a ecris est une sorte de putain franqiste dedoublée d un poete a trois sous.vous etes aller en prison pourquoi pour des americains marxiste.des americain marxiste par chez moi on appel sa des hypocrites.je vous comprendrais de ne pas tenir compte de se zigoto.sincerement,tatu mugunda des montagne de l afrique

    Nom: stumph
    E-Mail:
    Ville: chicoutimi
    Date: 17 Juin 2003
      
    Message: montalban est un génie de la lithérature,il est la digne descendant de christie.doyle et simmenon.son écriture durera des siecle.un jour manuel sonnera l arrivé d un nouveau chapitre a l histoire de la lithérature policiere a mort franco

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